Alexandre KoyréResenhas

Il saggio che dà titolo al libro sta nella seconda parte, mentre la prima, più lunga, è occupata da un saggio temporalmente successivo dedicato al perché il "macchinismo" non si sia sviluppato in antichità, basato sulla rilettura di un saggio di P.M. Schuhl (che a sua volta si era ispirato al saggio di Koyre sul pressapoco), posto in appendice a questo libro. Volume dalla struttura un po' confusa, come si evince. Ma a ogni modo interessante per leggere come la cultura si sia sempre imposta alla tecnica in antichità, fino a che la tecnica non ha avuto una sua cultura scientifica con Bacone e Cartesio (e allora le cose sono cambiate). Bello l'esempio della tecnica fino a un certo momento del "pressapoco" degli orologi, contenuto appunto nel saggio sul "pressapoco".

ثلاث دروس خاصة بألكسندر كواريه ألقاهم بجامعة فؤاد الأول وحاول أن يشرح مذهب ديكارت أو بالأدق كتابه "مقال في المنهج".
هو كتاب ثري ومفيد، لكن اعتقدت إنه ممكن يكون ترشيح مناسب للأصدقاء اللي محتاجين مدخل بسيط لفلسفة ديكارت، ولكن اللغة/الترجمة كانت ثقيلة والدروس محتاجة خلفية جيدة عن المواضيع اللي بتناقشها.

> La Philosophie de Jacob Bœhme, par Alexandre Koyré, chargé de conférences à l'École pratique des Hautes-Études, docteur ès lettres. Un vol. in-8* de xvti-524 p. Paris, Vrin, 1929.
Se reporter au compte rendu de ?
In: Revue de Métaphysique et de Morale, T. 36, No. 4 (Octobre-Décembre 1929), pp. 6-7… ; (en ligne),
URL : https://drive.google.com/file/d/1nxHSDk7IVhUoXlrvNHNS5cQg2bgEKV4i/view?usp=shari...

Comentario sobre cuatro de los mejores diálogos de Platón; Estos incluyen Meno, Theatetus, Protágoras y la República. La República ocupa aproximadamente la mitad del libro corto que presenta un enfoque en la política y en la ciudad justa.

> L'ouvrage de référence pour comprendre les implications intellectuelles et morales de la science moderne.
—Paul Klein

> Michel Paul-Henri. Koyré (Alexandre). Du monde clos à l'univers infini.
In: Revue d'histoire des sciences et de leurs applications, tome 17, n°1, 1964. pp. 57-60. … ; (en ligne),
URL : https://www.persee.fr/doc/rhs_0048-7996_1964_num_17_1_2289

> Poulat Emile. Koyre (Alexandre) Du Monde clos à l'univers infini.
In: Archives de sociologie des religions, n°18, 1964. p. 197. … ; (en ligne),
URL : https://www.persee.fr/doc/assr_0003-9659_1964_num_18_1_1780_t1_0197_0000_4

> Robert Jean-Dominique. Alexandre Koyré, Du monde clos à l'univers infini. Traduit de l'anglais par Mme Raïssa Tarr.
In: Revue Philosophique de Louvain. Troisième série, tome 62, n°73, 1964. pp. 195-196. … ; (en ligne),
URL : https://www.persee.fr/doc/phlou_0035-3841_1964_num_62_73_7931_t1_0195_0000_2

> Alexandre Koyré : Du monde clos à l'univers infini. Paris, P.U.F., 1962, 279 p. Traduit de l’anglais par Mme Raïssa Tarr.
Se reporter au compte rendu de René SCHAERER
In: Revue de Théologie et de Philosophie, Troisième série, Vol. 14, No. 1 (1964), pp. 63-64. … ; (en ligne),
URL : https://www.e-periodica.ch/digbib/view?pid=rtp-003%3A1964%3A14%3A%3A3#50

> DU MONDE CLOS À L'UNIVERS INFINI, par Alexandre Koyré. — Retrace la généalogie des conceptions du cosmos, depuis la perception antique d'un univers matriciel, placentaire, circonscrit et signifiant (clos) jusqu'à la découverte historiquement récente d'un univers éclaté, vertigineux, étrange, certes univers-cathédrale mais néanmoins déroutant sur la question du rôle que nous, humains, pourrions désormais y jouer.
-- Pour comprendre le texte (notre époque, notre monde, ce foyer à déchiffrer), nous serions bien en peine de négliger le contexte ("ce qui vient avec le texte", à savoir l'horizon qui nous borne, nous définit, le cosmos, l'histoire époustouflante de cet univers qui a vu naître la vie et qui cautionne notre menu quotidien). Peut-être serait-il parfois sage de prendre ce recul dont on vante tant les mérites et d'oser voir ce qui se cache par-delà les étoiles.
—Félix Pharand, Montréal (ICI.Radio-Canada.ca)

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LA PHILOSOPHIE DE JACOB BOEHME

INTRODUCTION

La doctrine du célèbre cordonnier-théosophe est, depuis longtemps
déjà, entrée dans le domaine de l'histoire de la philosophie. Depuis
Hegel, qui, dans son Histoire de la philosophie, lui avait consacré ur
chapitre élogieux ', et jusqu'aux historiens de nos jours , tout le monde
à quelques exceptions pres -est d'accord pour voir dans l'ceuvre
obscure, inégale,et confuse du philosophe teutonique la trace d'un des
plus puissants génies métaphysiques de l'humanité.

Cependant, si, en ce qui concerne l'importance de l'oeuvre de Boehme,
l'accord s'est fait assez facilement, si de plus en plus on commence
à reconnaitre l'influence très réelle qu'elle a exercée sur la pensée phi-
losophique allemande (et notre étude, nous l'espérons du moins,...

1. Cf. G. W. F. Hegel, Vorlesungen über die Geschichte der Philnsophie, Werke,
Bd. XV, Berlin, 1836, p. 297 . wir brauchen uns seiner [Boehme's] nicht zu
schämen...。
2. Cf. J. Erdmann, Grundriss der Geschichte der Philosophie, 1re éd. Berlin, 1868;
ke éd., Berlin, 1896, Bd. I, p. 532 et suiv ; Windelband, Geschichte der neueren Phi-
losophies, Leipzig, 1904, Bd. I, p. 117; Höffding, Histoire de la philosophie moderne,
Paris, 1906, vol. I, p. 74 et suiv. ; H. Schwarz, Der Gottes gedanke in der Geschichte
der Philosophie, Heidelberg, 1913, p. 555 et suiv
3. Cf. E. v. Hartmann, Geschichie der Metaphysik, Bd. I, Leipzig, 1899, p. 332 et
suiv. R. Falkenberg, Geschichte der neueren Philosophie, 8e éd., Leipzig, 1921,
p. 50.
4. Cr. F. W. J. Schelling, Philosophie der Offenbarung, Werke, Abt. II, Bd. II1,
Stuttgart und Augsburg, 1858, p. 123: e Man kann nicht umhin von J. B. zu sagen,
er sey eine Wundererscheinung in der Geschichte der Menschheit und besonders in
der Geschichte des deutschen Geistes... Wie die Mythologien und Theogonien der
Völker der Wissenschaft vorausgingen, so ist J. B. mit der Geburt Gottes, wie er sic
uns beschreibt allen wissenschaftlichen Systemen der neueren Philosophie voraus
gegangen...

DU MONDE CLOS À L'UNIVERS INFINI

AVANT-PROPOS

Maintes et maintes fois, en étudiant l'histoire de la
pensée philosophique et scientifique du xvie et du
xvne siècle - elles sont en effet si étroitement entremêlées
et liées ensemble que, séparées, elles deviennent
incompréhensibles -j'ai été forcé de constater, comme
beaucoup d'autres l'ont fait avant moi, que, pendant
cette période, l'esprit humain ou, tout au moins, l'esprit
européen, a subi- ou accompli - une révolution spiments
et les cadres mêmes de notre pensée, et dont la
rituelle très profonde, révolution qui modifia les
science moderne est à la fois la racine et le fruit 1.

Cette révolution ou, ainsi qu'on l'a appelée, cette
u crise de la conscience européenne » a été décrite, et
expliquée, de plusieurs manières différentes. Ainsi, bien
qu'il soit généralement admis que le développement
de la cosmologie nouvelle, qui remplaça le monde géo-
ntrique des Grecs et le monde anthropocentrique du...

1. Ca. A. N. Whitehead, Science and the modern world, New York
1925; E. A. Burtt, The metaphysical foundations of modern physical
science, New York, 1926; J. H. Randall, The making of the modern
mind, Boston, 1926; l'ouvrage classique d'Arthur O. Lovejoy, The
greot chain o being, Carnbridge, Mass., 1936, et mes Etudes gali-
léennes, Paris, 1939.

MISTICOS , ESPIRITUALES Y ALQUIMISTAS DEL SIGLO XVI ALEMAN

DEL AUTOR:
Alexandre Koyré, de una familia adinerada, se acercó a los socialistas, tras el fracaso de la revuelta de 1905. A los quince años fue detenido por motivos políticos, y al parecer en su celda leyó las Investigaciones lógicas de Husserl.

Se exilió en Alemania, dadas las acusaciones contra él, y allí recibió su formación superior: entre 1908-1909 asistió a los cursos de filosofía fenomenológica de Edmund Husserl y por otro lado a las clases del lógico y matemático David Hilbert en Gotinga. Esta universidad era un gran lugar de la investigación europea, por la presencia de filósofos como Husserl y Adolf Reinach (1883-1917) y de matemáticos como Felix Klein (1849-1925), Hilbert (1862-1943), Hermann Minkowski (1864-1909) o Ernst Zermelo (1871-1953), todo un grupo denominado el Círculo de Göttingen.Alexandre Koyré, de una familia adinerada, se acercó a los socialistas, tras el fracaso de la revuelta de 1905. A los quince años fue detenido por motivos políticos, y al parecer en su celda leyó las Investigaciones lógicas de Husserl.

DE LA OBRA:

Cuatro figuras, Caspar Schwenckfeld, Sobastiàn Franck,Paracelso y Valentín Weigel han atraído la atención del gran estudioso de la crisis de la vieja sociedad medievalen su paso hacia la edad «moderna». Centrándose en elsiglo XVı, el siglo en que cobra fuerza el renacimiento cul-tural y religioso que iba a acabar con los siglos oscurosdel medievo, y que marcaba el giro en la evolución inte-lectual y en una renovación definitiva de la sociedad,Koyré examina cuatro figuras claves de la revolución reli-giosa del momento, centrándose sobre todo en Paracelso, la magna figura cuya obra y vida puede ser calificadacon los tres adjetivos que presiden el título: místico, espi-ritual y alquimista.

This short book includes much more "food for thought" than many tomes more than twice its' size. Alexandre Koyre demonstrates an incisive erudition in his commentary on four of Plato's greatest dialogues; these include the Meno, the Theatetus, the Protagoras, and the Republic. The Republic takes up about half of the short book presenting a focus on politics and on the just city.

Beginning with the lesson from the Meno that virtue is not taught, but it can be taught. The same subject is discussed in the Protagoras, yet in a different and, according to Koyre, more amusing way. The further discussions of Theatetus and Republic are equally inviting and challenging as far as they go. They suggest ways we may conceive of knowledge and elucidate how theory and action may work in combination in both philosophy and politics. Is there such a thing as a just city? This book provides direction toward how to think about this and other topics. Ultimately it is a good introduction to both the philosophy of Plato and the acute analytical thought of Alexandre Koyre. The result is both invigorating and engaging for the reader.

Plato wrote dialogues, not treatises. This simple truth seems to elude many. Some people think that Plato was an enemy of poetry. Karl Popper (his head swimming with Bolsheviks and Nazis) wasted the entire first volume of The Open Society and Its Enemies (1945) imagining Plato as the proto-totalitarian. A computer repairman once insisted on telling me that The Allegory of the Cave was a 'self-indulgent fantasy.'

Would that everyone could read something like Discovering Plato (1947). There are other books that help readers to recognize the subtle philosophical meaning of the dialogue itself, the texture of Socratic irony and questioning, or the force of allusions to ancient poets and statesmen, but Koyré is particularly useful. He does not summarize or expand on the dialogues so much as direct the reader toward the implied mood of Plato’s works (in this instance, Meno, Protagoras, Theaetetus, and Republic), suggesting overtones and analogies that can resolve the apparent contradictions, paradoxes and inconclusiveness.

Koyré’s premise is that Plato was writing for a reader-auditor— someone basically familiar with the philosophical matters at hand, someone familiar with the nature of the dialogue form and the location, identity and experience of the characters, someone already in possession of an understanding derived from uncommon experience, a reader who can draw conclusions that the characters in the dialogues cannot. What is apparent to the reader-auditor frequently escapes Socrates’ interlocutors, who often do not even understand the questions asked of them, though they are rhetoriticians, generals, priests, mathematicians, etc. Plato has Theaetetus tell Socrates that science is true opinion; Socrates avoids a direct refutation, but the reader understands that opinion, true or false, is not science. Socrates’ subsequent discussion of opinion and our reading of it presupposes a method by which to distinguish true and false. The method is science.

Koyré’s short book deals only with two of Plato’s themes: the relationship of knowledge to virtue, and of politics to philosophy. The reader-auditor does not need to be convinced of the moral and theoretical supremacy of knowledge, and so recognizes without difficulty that the two themes overlap. The political problem of the constitution and government of the city is none other than the ethical problem of those who govern. How do we get a disinterested, responsible elite that can make philosophical understanding available as a guide to improving the imperfect cities of men? The political and moral reform of the city must begin with the reform of education and religion. Plato’s vigorous condemnation of traditional education and pieties disqualifies him as the impenitent reactionary imagined by Popper. His program of secondary and higher education had nothing in common with the Spartans’ training regimen. His critique of the traditional epic poets was not a dismissal of literature and art. (Plato’s writing is poetic; it is art.*) Against the gods as depicted by Hesiod and Homer, Socrates in The Republic advocated for the construction of new gods, as models of grandeur, courage, honor and virtue—qualities that could be taught as part of a course of study that aimed not at technical instruction but at intellectual and moral training.

Is it not reasonable, asks Koyré, to entrust power to those who know how to distinguish between good and evil, truth and error, reality and illusion? Has knowledge less right to exercise influence on the direction of affairs than courage, riches, oratorical talent, or birth and tradition? Koyré: “The paradox consists, not in Plato’s conception, but in the fact that it appears so strange to us.” For the philosopher, knowledge justifies power, and with knowledge comes a moral obligation to exercise it. One task of the philosopher-guardians is to translate the truth accessible only to pure thought into symbols and myths accessible to the imagination; that is likewise the role of art.* Our modern political reality—constructed from propaganda, truthiness, and fantasy-suasion—justifies Plato. Man is a credulous animal, writes Koyré, not a reasonable one.

Plato’s reader-auditor sees that the psychological structure of the individual and the social structure of the city fit neatly together. The ideal state, writes Koyré, is not a utopia but an atopia, since it exists only as an idea in the intelligible realm, where ideas have their ‘existence.’ It matters little whether our city can in fact ever come true. “We know that it is possible in the abstract, both to guide our action and to aid us in understanding and judging the imperfect cities in the midst of which fate has cast our lot, to form and to determine the ideal structure of Man.”

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