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Carregando... Un art de vivre et de mourirde Osho
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Google Books — Carregando... GênerosClassificação decimal de Dewey (CDD)204Religions Religion Religious experience, life, practiceAvaliaçãoMédia:
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> Frontières, 19 (2), 82–83 : https://doi.org/10.7202/017512ar
> UN ART DE VIVRE ET DE MOURIR, de Osho. — Et si, nous croyant vivants, nous étions morts spirituellement ? Dans ces entretiens, Osho nous invite à ne plus chercher la réponse sur le sens de la vie dans une philosophie ou une théologie mais à la chercher en nous par la méditation. A la question « pourquoi préférez-vous appeler la méditation l’art de mourir plutôt que l’art de grandir », il répond : « je sais que vous aimeriez que cela s’appelle l’art de grandir. Votre ego se sentirait bien : il s’agit de croissance ; alors je vais rester et grandir. L’ego ne peut souhaiter que cela, j’ai consciemment appelé la méditation l’art de mourir, pour choquer votre ego.
Mais c’est aussi plus vrai de l’appeler ainsi car votre ego ne va pas grandir, il va mourir dans la méditation. Il n’y a que ces deux possibilités : soit votre ego grandit, devient plus fort, soit il disparaît. S’il grandit, devient de plus en plus fort, vous vous enfoncez dans la fange, vous suffoquez, votre vie devient un enfer. La croissance de l’ego est comme le cancer, elle vous tue. La méditation, ce n’est pas la croissance de l’ego, c’est sa mort. » Mourir à soi-même pour venir à la vie : ce livre est un éloge à la vie ! Ed. Relié, 2001. 260 p.
—3e millénaire, (63), Printemps 2002
> UN ART DE MOURIR POUR L’OCCIDENT, de Osho, éd. du Relié. — Décidément, Osho aura été l’instructeur spirituel le plus original et le plus drôle du 20ème siècle ! Celui qu’on appelait aussi Sri Rajneesh et qui fut le guru de milliers de jeunes Occidentaux dans les années 70 et 80, s’y entendait pour évoquer les questions les plus vastes (la mort, mais aussi la naissance, l’amour, l’éternité, le sexe, la compassion, l’argent...) avec un inimitable mélange d’insolence, de tendresse et d’humour. Souvent, au cours des dix conférences qui ont été regroupées ici sous le titre Un art de mourir pour l’Occident - mais dont seule la première est véritablement consacrée à la mort -, on a la nette impression d’entendre Nasrudin lui-même, espiègle héros imaginaire des musulmans, qu’Osho aime évoquer pour illustrer ses démonstrations, ou pour les clore abruptement. Qu’est-il lui même ? Hindou ? Mais il évoque très souvent Jésus. Chrétien ? Mais sa plus grande admiration va aux juifs hassidims et à leur façon de prier en dansant de joie. Certes, c’est un vrai guru : on le sent notamment au ton des innombrables questions que lui posent ses disciples et qui lui servent à faire rebondir son propos. Mais l’invitation qu’il fait à ses élèves de se servir de lui comme d’un outil pour conquérir leur propre liberté, sonne juste. Au point que, plus d’une fois, on pense à l’austère Krishnamurti, l’anti-maître par excellence, apparemment aux antipodes d’Osho, mais qui aurait pu dire, lui aussi : “Si vous êtes très peu vivant, vous pouvez voir la vie et la mort comme séparées. Plus vous vous rapprochez du sommet, plus elles se rapprochent. Au point culminant, elles se rencontrent et ne font qu’une. Dans l’amour, dans la méditation, dans la prière, quand la vie devient totale, la mort est là. Sans la mort, la vie ne peut devenir totale.” Voilà un livre que l’on peut ouvrir au hasard, pour lire un morceau de conversation de temps en temps - et partir dans une nouvelle réflexion.
—Nouvelles Clés ( )