Der Turm (original: 2008; edição: 2008)

Was für ein überragendes Buch, locker eines der besten, die ich je gelesen habe. Wie der Autor die Szenen und Figuren zum Leben erweckt, Stimmungen einfängt, die gesellschaftliche Großwetterlage beschreibt, ist einfach überragend.

Im Mittelpunkt stehen die Familie Rohde und Hoffmann, die zum bürgerlichen Rest der DDR gehören. Wer verstehen möchte, wie dieses Milieu in der DDR lebte, wie die DDR auch mit ihren (vermeintlichen oder tatsächlichen) Gegner*innen umging, wird kaum ein besseres Buch finden können, als dieses. Weltliteratur. ( )

Un long survol (oui, même en tenant compte de la complexité et de l'ampleur du livre c'est le terme) d'une RDA provinciale vieillissante qui devient, insensiblement une RDA finissante. ( )

Audio book. Not my cup of tea. ( )

DNF.

The Tower / Der Turm has been praised as a masterpiece of describing life in East Germany in the 1980s, the struggle of people against a doomed regime based on secrets and lies.

And, yet, I'm throwing in the towel.

I just can't get past the ridiculous writing style and the overblown descriptions in this book.
Obviously, I am not going to comment on the plot, the characters, or the historical accuracy as I haven't finished the book. What I will say, tho, is that 200 pages in neither plot, characters or setting managed to capture me or made me want to suffer through another 800 pages of writing that was nearly as spurious, convoluted and self-congratulatory as that of my recent encounter with Elizabeth Bowen - and that is saying something. ( )

J'ai beaucoup aimé la première (longue) partie, moins la seconde, pleine de qualités encore mais un peu plus bavarde tout en étant bien plus sombre. Survolé la troisième / conclusion.
La lecture de la première moitié du roman (pas loin de 500 pages) vaut vraiment la peine, j'aime beaucoup ces livres qui reconstituent tout un monde avec une multitude de personnages et une géographie pointilleuse. Le problème n'est pas que le livre soit sombre, loin de là, le sujet n'est évidemment pas joyeux, mais que plus on descend dans le douloureux plus l'auteur choisit de faire entendre des "voix intérieures" pas très audibles, sans doute pour montrer l'effet débilitant des derniers mois du régime sur les esprits… mais c'est un peu fastidieux à lire, j'ai un peu perdu le fil du récit, certains personnages disparaissent sans raison quand d'autres (les personnages d'écrivains, d'intellectuels et d'artistes en particulier) deviennent très envahissants.
Par ailleurs, la traduction française aurait méritée d'être mieux relue, certaines erreurs laissent supposer que le traducteur a confié une part de son travail à des stagiaires qui n'ont pas lu le livre dans son ensemble. ( )