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Carregando... Au seuil du silencede Jiddu Krishnamurti
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Google Books — Carregando... GênerosClassificação decimal de Dewey (CDD)181Philosophy and Psychology Ancient, medieval and eastern philosophy AsianAvaliaçãoMédia:
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> Un grand livre édifiant si l'on envisage sérieusement de mieux connaître les mécanismes psychiques qui nous régissent, ainsi que les actes qui en découlent. Une belle oeuvre pédagogique pour le développement de son réel potentiel.
—Danieljean (Babelio)
> Un grand livre édifiant si l'on envisage sérieusement de mieux connaître les mécanismes psychiques qui nous régissent, ainsi que les actes qui en découlent. Une belle oeuvre pédagogique pour le développement de son réel potentiel.
—Danieljean (Babelio)
> RÉSUMÉ. — Regarder, être à l'écoute, seul le silence permet d'atteindre cet état de conscience nécessaire a l'approche de la vérité qui est en nous. Prônant la mise en doute de toute parole dogmatique et rejetant le statut de gourou, Krishnamurti nous invite au dialogue avec nous-mêmes, ferment de libération individuelle et collective. Au seuil du silence rassemble les textes authentiques des conférences données à Paris et à Saanen en 1968 ainsi que des conversations et méditations. En lisant Krishnamurti " ne laissez pas les mots penser à votre place. Ayez une parole habitée. "
*Source: https://www.centredeconnaissance.org/
> 1968-69 - AU SEUIL DU SILENCE… ; (Extraits… en PDF, ePub),
URL : https://drive.google.com/drive/folders/1NJoxu68N-s-a7HrA09jkwdlqRSm9zdtS?usp=sha...
La méditation n’est pas une simple maîtrise du corps et de la pensée. Elle n’est pas non plus un système de respiration (inspiration, expiration). Il faut que le corps soit immobile, sain et dépourvu de toute contraction ; la finesse du sentiment doit être aiguisée et maintenue ; et l’esprit humain avec son éternel bavardage, ses troubles, ses tâtonnements, doit prendre fin. Ce n’est pas l’organisme qu’il faut aborder en premier lieu, mais plutôt veiller au mental avec ses oppositions, son égocentrisme. Quand l’esprit est sain, vivace et vigoureux, alors le sentiment sera intensifié et sera d’une sensitivité extrême. Alors, le corps avec sa propre intelligence naturelle, qui n’a pas été gâtée par l’habitude et le goût, fonctionnera comme il le doit.
Il faut donc commencer par le mental et non par le corps, le mental étant la pensée et les différentes expressions de cette pensée. Une pure et simple concentration rétrécit la pensée, la limite, la rend friable. Mais la concentration survient tout naturellement dès l’instant où il y a une prise de conscience des cheminements de la pensée (11me méditatation, p. 219 - 220).
In: Robert Linssen, La véritable méditation : Étude des pulsions prémentales, pp. 28 — 29.
© 1973. Le Courrier du livre, Paris. 177 pp. ( )