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The Avenue of the Giants

de Marc Dugain

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733363,707 (3.82)3
Based on a true story, this "extremely compelling novel" delves into the mind of a murderer (Booklist). The Avenue of the Giants follows Al Kenner as he progresses from antisocial adolescent to full-fledged serial killer in the turbulent 1960s and '70s. A giant at over seven feet tall with an IQ higher than Einstein's, Al was never ordinary. His life is tainted by his parents' divorce and his mother's abusive behavior, and it takes a chilling turn on the day of John F. Kennedy's assassination. Al spends five years in a psychiatric hospital, and although he convinces the staff that he is of sound mind, he continues to harbor vicious impulses. He goes on to lead a double life--befriending the Santa Cruz, California police chief and contemplating marrying his daughter, all the while committing a series of brutal murders. Delving into the mind of this complex killer, this novel by the prize-winning author ofThe Officers' Ward was inspired by the real-life case of Edmund Kemper, and powerfully evokes an America torn between the pacifism of the hippie movement and the violence of Vietnam.… (mais)
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Ça te prends en plein cœur et ça te lâche plus jusqu’à la fin. Mais c’est assez horrible comme on peut s’y attendre au fil des chapitres. Style très américain. ( )
  Marc-Narcisse | Oct 31, 2018 |
Puis je suis retombé un peu dans la tristesse à l’idée qu’il allait tout faire désormais pour m’ôter ces sombres pensées. Alors qu’est-ce qui allait me rester ? C’était ça la question. Bien sûr, je ne pouvais pas lui en parler de cette façon mais qu’est-ce que j’en garderais à part mes escapades sur la route en moto. Je vois bien chez les autres types qu’une bonne dizaine de choses au moins les intéressent. Ils ont des familles, des hobbies, un Dieu, un chien, une maison, un jardin et plein de rêves qu’ils ne pourront jamais réaliser. Ils peuvent prendre n’importe quelle page centrale de Play Boy, fantasmer sur une fille, s’astiquer si affinités. Ils pensent que leurs petites vies valent de l’or, que la foi les empêchera de mourir vraiment, qu’il n’y pas de commencement et pas de fin. Moi je n’ai que ce fantasme et une envie de faire la route qui s’éteint dès les premiers kilomètres parcourus.
(p. 152, Chapitre 22).

Préambule :
Il m’arrive de commencer la rédaction d’une note de lecture avant d’avoir achevé un livre. Quand j’ai trouvé le bon angle d’attaque, quand mon impression se dégage clairement. C’est ce qu’il s’est passé pour ce livre, pour lequel j’ai commencé une note de lecture alors que j’en étais à peu près aux deux tiers de ma lecture. Deux jours plus tard, le livre fini, il me faut tout recommencer tant mon appréciation du livre a changé. C’est étrange de changer à ce point d’idée, et je veux en garder une trace dans cette note. Voici donc une note en deux temps…

Préambule :
Il m’arrive de commencer la rédaction d’une note de lecture avant d’avoir achevé un livre. Quand j’ai trouvé le bon angle d’attaque, quand mon impression se dégage clairement. C’est ce qu’il s’est passé pour ce livre, pour lequel j’ai commencé une note de lecture alors que j’en étais à peu près aux deux tiers de ma lecture. Deux jours plus tard, le livre fini, il me faut tout recommencer tant mon appréciation du livre a changé. C’est étrange de changer à ce point d’idée, et je veux en garder une trace dans cette note. Voici donc une note en deux temps…

Note de lecture telle que commencée aux deux tiers du livre :
Contingence ou nécessité. Etrangement, ce sont ces deux mots, deux faces d’une même pièce qui me sont venus à l’idée alors que je progresse dans la lecture de ce roman, ou plutôt de cette biographie romancée. Marc Dugain s’attèle, à chaque nouveau roman à des sujets très divers, apparemment sans lien entre eux. J’ai choisi ce livre pour une première découverte de cet auteur, je ne sais ce que cela révèle sur moi-même (car il ne serait pas honnête de dire que c’est un achat fortuit dans une librairie d’aéroport certes bien achalandée, mais pas avec les livres qui m’intéressent habituellement. J’avais déjà repéré ce livre, dont je ne faisais que différer l’achat…). Avenue des Géants est la biographie romancée d’un tueur en série qui a sévi au début des années soixante-dix en Californie. Al Kenner est donc le double littéraire d’Edmund Kemper, qui purge aujourd’hui une peine de prison à vie pour huit meurtres, une série qui avait commencé quelques années plus tôt par le meurtre de ses grands-parents paternels et qui s’achève avec celui de sa mère.

Contingence ou nécessité… Cette lecture a complété un numéro de la revue Books sur les tueurs en série dont la lecture m’avait beaucoup intriguée. J’en avais retenu que les tueurs en série présentent des caractéristiques comportementales certes, comme un manque d’empathie au-delà d’une sphère familiale plus ou moins restreinte ou bien une haute opinion d’eux-mêmes, mais que ces traits étaient présents dans une grande portion de la population, et ne faisaient pas de chacun de nous des tueurs en série. Ce que le dossier ne disait pas clairement, c’est si la présence simultanée des trois traits de caractère qui étaient soulignés était ce qui définissait un tueur en série. Ou bien tout simplement, il n’y a pas de déterminisme, et le profil psychologique, aussi poussé soit-il ne suffira jamais à définir un tueur en série, et encore moins à l’identifier avant son passage à l’acte. Il est certain que je préfère la seconde option, attachée à l’idée que tout un chacun a son libre arbitre et peut décider ou non, quelques soient ses pulsions et ses traumatismes, de passer ou non à l’acte. Mais dans ce cas, se pose la question de la légitimité de considérer tant de tueurs comme non responsables de leurs actes.
Ce livre ne donne pas de clef pour trancher ce débat. Mais il est intéressant de voir que le titre, qui demeure énigmatique pendant toute la première moitié du livre, semble indiquer que finalement, tout bascule sur un évènement fortuit (qui est effectivement aussi arrivé à Edmund Kemper) qui va enclencher un mécanisme qui conduira irrémédiablement vers le meurtre. Est-ce donc ainsi, faut-il un évènement en apparence relativement anodin pour déclencher des comportements si violents ? Ou est-ce une série d’évènements contingents, qui auraient pu arriver ou non ? Ou bien, si cela n’avait pas été ce détail, c’en aurait été un autre et, quelque soit l’enchaînement des faits, le résultat serait resté le même ?

Note de lecture rédigée à la fin de ma lecture :
Pardon ? On se moque de qui ici ? J’avais acheté un livre sur un tueur en série, non ? Et pourtant, l’évocation des meurtres d’Al Kenner qui le qualifient comme tueur en série n’arrive que dans les deux derniers chiffres d’un livre qui en compte 72 !!! C’est un peu : « ah et au fait, il faut que je vous dise, je suis aussi un tueur en série » !
Les meurtres qui inaugurent et closent l’activité d’Al Kenner, ceux de grands-parents paternels et ceux de sa mère et d’une amie de celle-ci qui s’est retrouvée au mauvais endroit au mauvais moment sont eux décortiqués en long, en large et en travers, même avant qu’ils ne se produisent, comme une issue inévitable. Mais les meurtres familiaux, c’est connu, sont les plus « faciles » à expliquer. Ce livre n’a donc au final pas beaucoup d’intérêt pour tenter de comprendre l’incompréhensible.
Alors certes, j’avais lu la rapide biographie d’Edmund Kemper sur Wikipédia après avoir lu quelques dizaines de pages de ce livre, pour essayer de comprendre un peu ce qui était vrai et ce qui était fictif dans le roman. Les faits sont réels, pour le reste je n’ai pas assez poussé mes recherches pour savoir s’il y a concordance entre les analyses psychologiques faites sur Edmund Kemper et ce que dit le personnage d’Al Kenner. Il n’y avait donc aucun suspens dans ma lecture, mais il me semble que le propos du livre n’a rien à voir avec ce qui est annoncé, et je me suis sentie flouée.
Déçue par le propos du livre, ce n’est pas la forme qui rattrape le coup. Je n’ai pas compris le rôle de Susan dans le livre, ni non plus cette construction alternée entre des souvenirs contés à la première personne et l’évocation du prisonnier plusieurs décennies plus tard à la troisième personne. Encore une fois, rien qui explique la différence entre les deux temps du personnage, plein de colère dans ses jeunes années et plutôt serein aujourd’hui (du moins à sa façon). Le style n’est pas fantastique non plus, mais je serais passée outre ces petits défauts si le propos avait été à la hauteur.
A mi-parcours de ma lecture, je me disais que Marc Dugain était un fin psychologue et que je lirais avec plaisirs d’autres de ses livres. Maintenant, je me dis qu’il m’a baladé pendant quatre-cents pages pour finalement ne rien me dire et je suis plus que déçue. C’était un sujet difficile à traiter, certes, mais j’imagine qu’on ne se lance que si l’on a quelque chose à dire. Pas sûre maintenant qu’il y aura une prochaine fois avec cet auteur.
1 vote raton-liseur | Apr 10, 2014 |
L'histoire incroyable d'Al Kenner, un géant de 2.20m et au QI supérieur à celui d'Estein, qui vit avec sa mère, une alcoolique sans amour, et deux soeurs pour qui il n'a aucune affection. Froideur total entre ces êtres. Son père, de qui il était assez proche, a quitté le foyer qu'il ne supportait plus. La vie de Al bascule lorsque, le jour de l'assassinat de JF Kennedy, il assassine ses grands parents sans aucun trouble, dans une froideur extrême qui nous glace le sang. Très clairvoyant, il se livre à la police, expliquant simplement qu'il a tué ses grands-parents et qu'il doit donc payer pour sa faute. Il va faire de la prison et accepte cette étape. Il y reçoit la visite très régulière d'une femme qui lui apporte de la lecture - il prête d'ailleurs sa voix à des enregistrements de romans car son timbre passe très bien et touche beaucoup d'auditeurs. Il souhaite même écrire un livre. Mais dans ses rapports avec cette personne porteuse de lectures, il se sent parfois agressif, méchant même, et il sait qu'il doit se méfier de ses possibles réactions. Il n'éprouve aucune compassion, aucun sentiment vis à vis de personne. Lorsqu'il sort de prison, il sent à tout instant qu'il est encore capable de faire le mal. Une fois sa faute expiée, son dossier judiciaire va être classé et il est donc blanc comme neige pour redémarrer une nouvelle vie. Mais ce n'est pas si simple. Sa mère, et l'absence totale d'amour qu'elle représente, est un obstacle infranchissable, qui le maintient dans un état de colère enfouie et en même temps de dépendance vis-à-vis d'elle. Sa mère, qui le voit bien sûr maintenant comme un terrifiant criminel, qu'elle avait toujours soupçonné en lui. Elle lui dit ouvertement, elle a honte de lui, elle ne l'a jamais aimé, elle a donné vie à un monstre. Son père reste aux abonnés absents.
Il va créer des liens avec un policier qui voit en lui quelqu'un de bien, se lier également avec sa fille avec qui il a une relation tout à fait platonique mais rassurante. Il ira même jusqu'à la demander en mariage malgré le peu d'expressions concrètes d'une quelconque affection. Mais, dans un suspense qui m'a tenu en haleine jusqu'au bout, son état psychologique ne s'améliore pas et, tout en vivant à peu près normalement en apparence, il va à nouveau commettre l'irréparable...
Un roman très bien construit, glaçant et terriblement humain dans tout ce qu'il y a de complexe et de bestial en l'homme, et le tout dans ces grands espaces américains dans lequel Al plonge souvent avec ivresse. Il en a besoin, il prend la route comme on aspire une grande goulée d'air pur. Très beau roman ! ( )
  fiestalire | Nov 9, 2012 |
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Pertence à série publicada

Mirabilia (203)
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Epígrafe
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« Être, c’est être coincé. »

CIORAN,
Écartèlement
Dedicatória
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À Florent, Héloïse, Roman Kamil et Emmanuelle : ma joie.

À Bruno Jeanmart, psychanalyste et philosophe, mon plus vieil ami. De nos discussions tardives a germé ce livre.
Primeiras palavras
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1

Comme chaque mois, elle lui fait face après s’être installée lourdement sur sa chaise. Elle sort les livres de son sac, une dizaine. [...]
Citações
Últimas palavras
Aviso de desambiguação
Editores da Publicação
Autores Resenhistas (normalmente na contracapa do livro)
Idioma original
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CDD/MDS canônico
LCC Canônico

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