Classique, trop classique. Une histoire un peu trop chargée de fatalité, entre la promesse qui engage la vie de l’aimée, les tentations démoniaques de la femme et du jeu, les hallucinations de l’esprit. Tout cela devient une recette classique mais trop lourde… Et je me suis ennuyée dans cette lecture dont la fin est connue dès le début, même si le cadre de la Révolution et de la Terreur aurait pu rendre le propos original. Je conçois qu’à l’époque de la publication de cette nouvelle, en 1850, ce genre de prose ait pu plaire et attirer par sa nouveauté, mais comme beaucoup de nouvelles de genre gothique romantique, je trouve qu’elle a mal vieilli, et seuls les adeptes de ce courant littéraire trouveront un intérêt à cette nouvelle. Qui trop embrasse mal étreint, c’est vrai pour l’infortuné héros de cette histoire, Hoffmann, et c’est vrai pour la lectrice que je suis.

Não prende o leitor como outros livros de Dumas, apesar do personagem principal ser Hoffmann. Personagens planos, principalmente as duas mulheres, que assumem os papéis estereótipos da mulher santa e da mulher tentadora. ( )

1793, année noire. C'est le règne de la Terreur. L'ombre de l'échafaud plane sur Paris. Et celle du diable n'est pas loin... Il s'appelle Hoffmann. Il a quitté l'Allemagne pour monter à l'assaut de ses rêves. Car il en est convaincu : le monde est un théâtre et Paris est sa scène. Et si le décor avait un envers ? Pire que dans un conte ! Amours vénales et vénéneuses, rencontres magiques et terrifiantes, ivresse et folie du jeu ! A-t-il rencontré Arsène, la danseuse au collier de velours ? A-t-il déversé des flots d'or à ses pieds ? L'a-t-il bien vue dans la nuit, pleurant Danton, son amant guillotiné ? Une chose est sûre : deux fois parjure au serment qu'il avait fait en quittant son pays, Hoffmann a vendu son âme et sacrifié ceux qu'il aime... ( )