Robert de Boron

It’s a bloody masterpiece. In three short romances, Robert (or his redactor) creates an origin story for the Grail, tells the quest for it, and then the death of Arthur. In the process he creates something that we can recognise as the Arthurian legend today, not just rumours and whispering of it.

How he does this is very clever. Before you dive in to Joseph of Arimathea, it’s worth reading the Gospel of Nicodemus and some of the Pilate Cycle. These are all short works. Bear in mind that at the time people thought they were actual historical documents. Our author has wound his story around this history. It opens with an orthodox statement of faith. In the introduction (short but excellent), Bryant mentions a theory that this may be to counter accusations of Catharism. Well, possibly, but Robert is on dangerous ground anyway, playing around with truth.

In Merlin Robert switches to the Canonical Gospels and Geoffrey of Monmouth’s History of the Kings of Britain. Again, it’s worth having read these beforehand; and again they were all thought at the time to be genuine historical documents on the one had and an actual history on the other. Merlin is a kind of anti-Christ, as it were – not evil, but his life a reflection of Jesus’. I particularly enjoyed how Bryant translates his direct speech into the same rhythms and tone as Nicol Williamson uses in Boorman’s Excalibur. He does a similar thing in one of his other Arthurian translations where he quotes Monty Python’s Quest for the Holy Grail as often as he can.

Perceval opens in a sort of dreamland. Castles that move about, in a forest that can’t be mapped, though which lone knights can quest. A land bound with enchantments. Perceval’s achieving of the Grail is a sort of double-edged sword. On the one hand the enchantments are unbound, but on the other time starts. We’re suddenly in the 13th Century where knights are not lone superheroes but soldiers who can be killed.

I enjoyed this all the more for having read the other books mentioned above, but really you’re ready for this if you’ve read Chrétien de Troyes. As they say in blurbs, if you only read one Arthurian romance this year...… (mais)

> Où retrouver Merlin? Quelques pistes bibliographiques.
Se reporter à l’article de Tusseau, J.-P. In: Nuit blanche, no. 60 (Juin–Juillet–Août 1995), pp. 40–41. … ; (en ligne),
URL : https://id.erudit.org/iderudit/19694ac

> Babelio : rel="nofollow" target="_top">https://www.babelio.com/livres/Boron-Merlin--Roman-du-XIIIe-siecle/21841… (mais)

EL MAGO MERLÍN

El mago Merlín, el "nacido sin padre», es una de las
figuras más fascinantes del ciclo artúrico. Robert de
Boron, un clérigo nacido cerca de Montbéliard,
escribió, a mediados del siglo XII, un Romance de
Merlin, una de las obras claves que contribuyeron al
desarrollo y extensión de la leyenda.

Inspirado, posiblemente, en leyendas célticas
desarrolló una abundante obra, de la cual por
desgracia sólo conocemos un romance sobre el Santo
Grial y la obra de Merlín.

Impresa por primera vez en París en 3 volúmenes
in-folio, la versión que presentamos fue vertida al
francés moderno por M. S. Boulard en el siglo XVIII.… (mais)

LA LEGENDE ARTHURIENNE

Les romans de la Table Ronde sont de grands récits
d'amour: autour d'Arthur, le roi légendaire, l'élite de
la chevalerie s'adonne aux exploits qu'alimente la force
du désir. Lancelot, l'amant idéal, éprouve pour
Guenièvre, l'épouse de son souverain, une folle
passion qui doit rester secrète! Mais Gauvain, le neveu
d'Arthur, peut faire état du prestige de sa séduction:
beau et galant, ardent, il est disponible à la moindre
invite des dames, parfois au risque de sa vie - car une
nuit auprès d'une jeune fille nue et consentante qu'un
père livre à son hôte est bien périlleuse: une épée aux
attaches d'argent interdit la jouissance! Gauvain se
prête aux fantasmes les plus divers : sa force suit
cours du soleil...

Le fantastique aussi imprègne les récits. Merli
l'Enchanteur, né d'une copulation du diable avec une
jeune fille, est à l'origine de la Table Ronde. C'est
grâce à lui qu'Uter pendragon, passionnément épris
d'Ygerne, prend les traits de l'époux absent et c'est
dans l'illusion d'une nuit que sera conçu Arthur
Merlin établira la souveraineté du jeune homme, roi de
la Table Ronde.

Une femme peut elle aussi accomplir un acte
extraordinaire: pour sauver Caradoc, la belle Guinier
accepte de se plonger dans une cuve de lait, une nuit
de pleine lune, et de sacrifier l'extrémité de son sein
blanc.

Les quêtes des chevaliers de la Table Ronde menent
au Graal, qui garde le mystère de son nom et de son
origine : objet magique, source de vie, il fait partie des
talismans de l'autre monde. L'initiation du jeune
Perceval et son échec dans cette quête imprègneront
profondément la sensibilité occidentale.

Du XlIe au XVe siècle, la légende arthurienne, ern
français et en langue d'oc, a essaimé dans l'Europe
entière, témoin de la séduction de la "matière de
Bretagne… (mais)