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Jacob Needleman (1934–2022)

Autor(a) de Money and the Meaning of Life

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About the Author

Jacob Needleman is a professor of philosophy at San Francisco State University, and the former director of the Center for the Study of New Religions at the Graduate Theological Union in Berkeley
Image credit: By Gazebo - Own work, CC BY-SA 3.0, https://commons.wikimedia.org/w/index.php?curid=30705452

Obras de Jacob Needleman

Money and the Meaning of Life (1991) 294 cópias
Lost Christianity (1980) 239 cópias
Why Can't We Be Good? (2007) 158 cópias
The Heart of Philosophy (1982) 157 cópias
The New Religions (2009) 120 cópias
What is GOD? (2009) 92 cópias

Associated Works

Tao Te Ching (0400) — Introdução, algumas edições18,491 cópias
Meditations (0170) — Tradutor, algumas edições14,387 cópias
The Gospel of Philip: Jesus, Mary Magdalene, and the Gnosis of Sacred Union (2003) — Prefácio, algumas edições115 cópias
Soul: An Archaeology--Readings from Socrates to Ray Charles (1994) — Contribuinte — 101 cópias
Being-In-The-World: Selected Papers of Ludwig Binswanger (Condor Books) (1963) — Tradutor, algumas edições55 cópias
To Live Within (1969) — Prefácio — 49 cópias
Living Philosophically (Thinking Allowed) - VHS tape (1987) — Guest — 1 exemplar(es)

Etiquetado

Conhecimento Comum

Data de nascimento
1934-10-06
Data de falecimento
2022-11-28
Sexo
male
Nacionalidade
USA
Local de nascimento
Philadelphia, Pennsylvania, USA
Ocupação
Philosopher
Organizações
San Francisco State University

Membros

Resenhas

Short, sweet, and on point. Easy to pick up at any point, at any time, whenever you need it.
 
Marcado
tgraettinger | outras 2 resenhas | Jan 20, 2021 |
The most important book in my life, almost.
 
Marcado
Deborama | Jun 24, 2020 |
> Babelio : https://www.babelio.com/livres/Needleman--la-recherche-du-christianisme-perdu--U...

> A LA RECHERCHE DU CHRISTIANISME PERDU, de Jacob Needleman. — PASSIONNANT et passionné, ce livre est une réflexion dense, allégée de nombreuses anecdotes, qui retrace le cheminement parcouru par l’auteur dans sa quête de l’essence du christianisme. Il est composé de deux parties. Dans la première, Needleman évoque ses rencontres avec trois chrétiens “remarquables" (un prêtre orthodoxe russe, un missionnaire catholique américain, un moine chrétien d’Égypte, le père Sylvain), rencontres qui lui permirent de porter un regard nouveau sur la tradition chrétienne, ou plus précisément sur ce qu’elle fut et devrait être.
La seconde partie, intitulée “La doctrine perdue de l'âme”, commence par ébaucher une comparaison avec les religions orientales en particulier le bouddhisme zen, et ce à travers les écrits de prêtres chrétiens qui ont utilisé les “techniques” de ces religions pour trouver ce qui manquait dans la leur : la connaissance de soi sans laquelle il ne peut y avoir amour de Dieu ou des autres (en d’autres termes, avant de dire “je suis chrétien”, il faudrait pouvoir dire "je suis”).
D’après l’auteur, l’erreur du christianisme est avant tout d’avoir confondu la discipline intérieure avec le résultat de celte discipline qui est le mysticisme.
Cette corruption de la tradition chrétienne a commencé au XIIe siècle avec la fondation des grandes écoles théologiques qui donnèrent de plus en plus d’importance aux facultés d’analyse de l’esprit, donc à la rationalité. La prière, écoute contemplative de Dieu à l’origine, fut de plus en plus codifiée jusqu’à devenir un instrument de formation morale, ce qui eut pour effet d’exclure l’expérience intérieure de Dieu et de donner, aussi bien dans la vie religieuse que dans tous les aspects de la civilisation occidentale, plus de valeur à l’action extérieure qu’à l’expérience intérieure : le but devint de “servir Dieu” et non plus de “goûter Dieu”. Comment retrouver dans notre vie moderne une forme de prière qui soit une “attention du coeur”, du centre de soi-meme ? La solution réside, selon l'auteur, dans la doctrine chrétienne de l’âme en tant que principe intermédiaire dans l’Homme et dans le cosmos entre l’esprit et le corps. Car l’âme n’est pas réduite aux pensées et émotions, elle est une force médiatrice capable d’unir les aspects intellectuels, émotionnels et instinctuels de l’être humain aux plus hauts principes de l’ordre et de l’esprit de l’univers.
Le “christianisme perdu” est le pouvoir oublié de l’homme de tirer des expériences qui composent sa vie, l’énergie pure de l’âme.
La tradition ne peut être qu’un guide dans la recherche de soi, il nous faut la regarder du point de vue du besoin de l’être et non pas de celui d’un désir d’explications.
Dans sa conclusion, l’auteur s’interroge enfin sur “la religion perdue de l’amour” d’où il ressort que l’expérience essentielle de l’amour chrétien est le commandement de transmettre l’enseignement. Car le mysticisme et la spiritualité par eux mêmes (“goûter Dieu”) sont insuffisants ; l’action sociale et l’assistance thérapeutique (“servir Dieu”) sont également insuffisantes, de même qu’il est insuffisant d’atteindre les deux aspects en même temps.
L’élément perdu dans nos vies, c’est la force intérieure qui nous permet d’être attentifs à ces deux tendances de la nature humaine en nous et de guider ensuite le surgissement de cette force chez autrui. Aimer son prochain, c’est l’aider à élever et à déployer en lui ce qui peut harmoniser les éléments réels de sa nature.
Cet amour va bien au-delà des mots, des explications intellectuelles ou de la persuasion : transmettre la vérité à son prochain, c’est entretenir la croissance de son àme.
Livre enrichissant qui laisse entrevoir ce que pourrait être une religion occidentale ayant retrouvé son authenticité spirituelle originelle. Éd. Albin Michel.
Nouvelles Clés, (10), Mars/Avril 1990, (p. 74)

> À LA RECHERCHE DU CHRISTIANISME PERDU, de Jacob Needleman. — Spécialiste renommé des "nouvelles religions", professeur d’université et philosophe à la recherche d’une pensée incarnée : Jacob Needleman interroge dans cet ouvrage l’essence du christianisme.
Au-delà des rites, des pratiques et des institutions, que reste-t-il de cette religion autour de laquelle s’est bâtie la culture occidentale ? Ne pourrait-on y retrouver ce que beaucoup vont aujourd’hui chercher dans l’hindouisme ou le bouddhisme ? N’existerait-il pas un "chaînon manquant", une expérience apte à réunifier les fragments d’une foi en déroute ?
Dans ce livre mené telle une enquête : Needleman conjugue rencontres et réflexions, anecdotes et interrogations essentielles. À la fois sérieux et humoristique, loin des syncrétismes faciles, ce livre offre une approche transfigurée du christianisme Ed. Albin Michel, 1990 - 240 p.
3e millénaire, (20), Été 1991

> Jacob Needleman, Professeur de Philosophie à l'Université de San Francisco, est spécialiste renommé des “nouvelles religions”. En préface à son dernier livre (à paraître en octobre 92 aux Editions Critérion, ainsi qu'il en informa le rédacteur en chef lors de leur amical échange en Avril 92 à l'occasion d'une série de conférence en Sorbonne), et dont nous publions ici un extrait avec son invitation chaleureuse, il relève très justement que « l’affaiblissement de la philosophie véritable depuis un siècle a produit une sorte de maladie collective et individuelle qui a des conséquences bien plus néfastes qu’on ne l’imagine généralement. Nous vivons à une époque de mise au ban de la métaphysique, mise au ban qui doit être levée. Les différentes formes de refoulement psychologique et sexuel contre lesquelles la psychiatrie se bat ne sont rien, comparées à l’étouffement de “l’amour du sens” — amour du sens qui est la véritable définition de la philosophie. L’amour du sens — le désir et la recherche du sens — représente dans la vie de l’homme moderne la seule force, objective et réelle, tendant au bien. Tout ce que nous pouvons espérer et souhaiter pour nous-mêmes et nos enfants dépend de cette recherche. » C'est ainsi qu'il définit le sujet de son livre.
Dans la seconde partie de son ouvrage […], Jacob Needleman « montre que c’est l'amour du sens — le besoin du sens — qui caractérise de manière organique la nature humaine… » ; pour cela il expose l’essentiel des expériences qu'il a vécues en enseignant la philosophie à des ^adolescents et à leurs parents. Ici, il relate une rencontre amicale avec un étudiant…
Il est l’auteur de nombreux ouvrages dont “A la recherche du christianisme perdu" (Albin Michel. 1990), publié en langue française, et d’articles parus dans 3e millénaire (n°25. 29. 32. 36. 39 et 65)
… (mais)
 
Marcado
Joop-le-philosophe | outras 3 resenhas | Mar 8, 2019 |
This edition seems well executed in translation, readability, and introductory context. As for the meditations themselves, I remembered them being more thought provoking. There were several ideas that made me stop and think, or that I made note of as worth coming back to. There were a lot of others that weren't so inspiring. Aurelius certainly was an interesting character: truly a philosopher king. His closing thought in book one is both interesting and humorous. "I am also thankful that, once I had an appetite for philosophy, I did not fall into the hands of some so-called wise man, and that I did not waste my time publishing or attempting to solve logic puzzles, or busy myself with observing the sky." Perhaps the central message from Aurelius is that we are all part of the human experience and for such a short time. We need to interact with others and better ourselves, yet the converse is more common.… (mais)
 
Marcado
jpsnow | outras 2 resenhas | Feb 19, 2018 |

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