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Obras de Lama Kazi Dawa-Samdup

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Conhecimento Comum

Nome padrão
Dawa-Samdup, Lama Kazi
Sexo
male
Nacionalidade
Tibet

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Resenhas

The Tibetan Book of the Dead as translated by W.Y. Evans-Wentz is a less than complete and less than faithful translation but is the only version known in the West for a long time. As such, it is, at the least, an important historical document even when it might not be a particularly useful one for those interested in Buddhism.

My case is one example. I became familiar with the book when I first picked up a copy of The Psychedelic Experience back in the late 60s. It is the version that not only influenced those experiments but served as an introduction to Eastern thought for me. It is also the version that Jung referenced in his work. So having this copy for these purposes make perfect sense.

If you want to sidestep Evans-Wentz' theosophy influence and get a better, more comprehensive translation as part of studying Buddhism, I would recommend a different translation. This Ixia Press edition is a wonderful copy of Evans-Wentz version and I would highly recommend it for those who want or need this version.

Reviewed from a copy made available by the publisher via NetGalley.
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pomo58 | outras 6 resenhas | Dec 20, 2020 |
> Ledrus M. Bardo Thödol. Le livre des Morts Tibétain, ou les expériences d'après la mort dans le plan du Bardo, suivant la version anglaise du Lama Kazi Dawa Samdup, éditée par le Dr W. Y. Evanswentz. Traduction française de Marguerite La Fuente, précédée d'une préface de M. Jacques Bacot.
In: Revue néo-scolastique de philosophie. 39ᵉ année, Deuxième série, n°52, 1936. p. 568. … ; (en ligne),
URL : https://www.persee.fr/doc/phlou_0776-555x_1936_num_39_52_7865_t1_0568_0000_2
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Joop-le-philosophe | outras 6 resenhas | Sep 13, 2019 |
The Tibetan Book of the Dead is one of the texts that, according to legend, Padma-Sambhava was compelled to hide during his visit to Tibet in the late 8th century. The guru hid his books in stones, lakes, and pillars because the Tibetans of that day and age were somehow unprepared for their teachings. Now, in the form of the ever-popular Tibetan Book of the Dead, these teachings are constantly being discovered and rediscovered by Western readers of many different backgrounds--a phenomenon which began in 1927 with Oxford's first edition of Dr. Evans-Wentz's landmark volume. While it is traditionally used as a mortuary text, to be read or recited in the presence of a dead or dying person, this book--which relates the whole experience of death and rebirth in three intermediate states of being--was originally understood as a guide not only for the dead but also for the living. As a contribution to the science of death and dying--not to mention the belief in life after death, or the belief in rebirth--The Tibetan Book of the Dead is unique among the sacred texts of the world, for its socio-cultural influence in this regard is without comparison.… (mais)
 
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PSZC | outras 6 resenhas | Mar 24, 2019 |
> Le Livre des Morts tibétain ou Bardo Thôdol est une excroissance singulière du bouddhisme Mahayana et l'un des livres les plus extraordinaires qui soit, depuis qu'il y a des livres et des gens pour les lire ou les réciter. Sans équivalent dans aucune école bouddhique, ni dans aucune autre civilisation (à l'exception peut-être du Livre des morts égyptiens), il développe l'enseignement du Bouddha sur un point suprêmement intéressant, puisqu'il décrit, en détail, la destinée post mortem de l'âme humaine. Selon ce texte, sans doute aussi ancien que le bouddhisme au Tibet, un seul et même courant, de nature fondamentalement onirique, nous tient captifs dans cette vie et dans l'autre, laquelle est nommée bardo – état intermédiaire entre la mort et une nouvelle naissance.

Des apparitions – déités radieuses ou courroucées, bodhisattva ou rakshasa (démons) mangeurs de chair – surgissent dans le bardo, accompagnées, pour ces dernières, d'éclairs, tonnerre, précipices effroyables, vents mugissants, pluies torrentielles. Conformément à la doctrine de l'anatta, toutes ces apparitions sont de la nature du rêve, elles sont dépourvues de noyau, de moi, de substance, et c'est ainsi qu'elles doivent être considérées. Ce ne sont, enseigne le Livre des Morts, que des projections de nos «formes-pensées». L'esprit, chose extrêmement collante dans la vie, continue à nous coller aux basques dans la mort. Si le défunt parvient à comprendre qu'il n'est confronté à rien de substantiel dans le bardo mais seulement aux productions de son propre esprit, il connaîtra la vérité. Il réalisera sa véritable nature, qui est «l'intelligence nue et sans tache, vide, transparente, sans circonférence ni centre », pareille au ciel illimité. le processus onirique prendra fin. Ce sera l'Éveil.

Mais si le défunt, emporté irrésistiblement par le tourbillon karmique, ne parvient pas à se reconnaître lui-même dans le clair miroir que lui tend la mort, il devra poursuivre son périple, descendant par étapes dans les sphères toujours plus obscures et emberlificotées du bardo, avant de retomber, en bout de chaîne, dans l'une de ces chausse-trapes que nous nommons matrice, de formes et couleurs diverses, où le phénomène de la vie se cristallisera à nouveau, selon des conditions produites par ses actes passés. Il aura raté l'occasion.

Entre la vie d'ici et celle du bardo, telle que nous la présente le texte tibétain, il n'existe aucune différence de nature, tout au plus une différence de degré comme si la mort, donnant libre cours au rêve, lui permettait enfin de s'épancher librement, sans se déchirer aux arêtes tranchantes de la vie.

Dans la mythologie grecque, Hypnos, personnification du sommeil, qui tient à la main des fleurs de pavot, est le frère jumeau de Thanatos, la mort. Hypnos et Thanatos, rêve et mort, sont l'un et l'autre enfants de Nyx, la nuit. Ils se tiennent par la main comme deux bons amis.

La mort est un rêve au large, désamarré, qui s'enfonce de plus en plus profondément dans les replis de l'inconscient, qui va voir plus loin que nos rêves nocturnes, dans des lieux dont la conscience de veille ne peut avoir la moindre idée.

En résumé, le vivant et le défunt sont fondamentalement à même enseigne : ni les uns ni les autres ne voient les choses comme elles sont. Ils les rêvent. --Hervé Clerc
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Source : Hervé Clerc, Les choses comme elles sont: Une initiation au bouddhisme ordinaire, Gallimard (pp. 134-6)
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Joop-le-philosophe | outras 6 resenhas | Jan 22, 2018 |

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